Anal, Trou de balle contient une scène incendiaire et peu banale ; le casting d'Elodie, actrice hautement désirable des années quatre-vingt-dix. A l'époque de ce film inaugural, elle menait, d'une certaine façon, une double vie ; ouvrière dans une usine stéphanoise, elle ne se prêtait aux tournages que le temps d'un week-end. Lorsque le réalisateur, Henri G., mène son interview, il ignore tout, par définition, du destin flamboyant qui attend l'ouvrière stéphanoise. Il va même jusqu'à lui reprocher sa timidité sous prétexte qu'elle s'exprime à mi-voix. La chevelure couleur de geai, des yeux de braise, des moues provocantes, parée d'un body violet (assorti au ruban qui noue ses cheveux), et d'un string de dentelle noire, elle est bandante au-delà de toute mesure et le sait d'une science certaine ; loin d'être intimidée, elle vampe le réalisateur avec une assurance désarmante, promenant les mains sur les hanches et sur sa poitrine phénoménale et naturelle.
Henri G. lui demande si elle est "experte en pipes". Elle répond d'une voix à peine audible qu'elle " adore sucer" . A peine a-t-elle commencé à pomper le noeud du hardeur prévu à cet effet, que le réalisateur lui demande de bien vouloir sucer également son assistant "au bord de l'apoplexie". Elle accueille le deuxième homme avec un sourire invitant et va accéder à tous leurs désirs.
La deuxième scène a quelque chose d'émouvant : une fille adorable de vingt ans fait ses premiers et apparemment derniers pas dans le X en compagnie de son boy friend. Dans la troisième et dernière scène, une fille mignonne du même âge, les yeux masqués par un loup, se partage entre deux fouteurs et tout un lot de godemichés.
Taille: 700 Mo / DVDRIP / avi
